entrée libre / réservation conseillée
un verre offert !
à savoir - une fête de mi-saison aura lieu le sam. 27 jan. 2024 pour vous présenter les projets du deuxième semestre.
restauration sur place
covoiturez !
En présence des artistes complices Pauline Susini et de Anne-Sophie Bérard, commissaire d’exposition associée dans le cadre du dispositif CURA.
le programme
18h - vernissage exposition L’amer de Pascal Grimaud
19h – présentation des spectacles du premier semestre de la saison 23 24
20h30 – panier à réserver ou pique-nique tiré du sac
21h15 – concert de L - Raphaële Lannadère
Une expérience visuelle et musicale.
Raphaële Lannadère, qui avance, depuis le début de sa carrière sous le pseudonyme L, juste la lettre L, est une femme qui chante. Autrice-compositrice-interprète, elle a été remarquée en 2011 avec son premier album Initiale. Celui-ci lui a valu de remporter de nombreux prix parmi lesquels le prix Barbara du ministère de la Culture et le prix Felix-Leclerc de la chanson. L’artiste poursuit son cheminement… avec ce spectacle onirique et sensible mis en scène en complicité avec la scénographe et curatrice d’art multimédia AnneSophie Bérard. Dans ce concert performance, art scénique et art contemporain dialoguent et dessinent un espace scénique libre, hybride, décloisonné, qui permet à ses chansons de s’exprimer entièrement et pleinement. À travers une écriture intime, engagée et volontiers irréelle, les textes de L parlent des liens qui se tissent et nous construisent, que ceux-ci soient sociétaux ou privés, collectifs ou individuels, d’hier ou de demain, géographiques ou imaginaires.
Photographe, Pascal Grimaud vit et travaille à Marseille. Après avoir collaboré avec une agence de presse, il se consacre à des projets d'auteur qui le mènent à Madagascar, Cuba, Haïti, en Roumanie, au Venezuela, en Afrique… mais aussi à Marseille et dans les Alpilles. Ses photographies paraissent dans différents journaux - le Monde diplomatique, Courrier international, Libération, le Nouvel Observateur… Pascal Grimaud ne s'illusionne pas sur ce qu'il peut en montrer : parfois il s'arrête à la légère tension d'un petit événement, d'un geste précis, qui nous laisserait croire qu'on nous raconte une histoire, ces moments ne parlent encore que de choses très essentielles : du temps, de l'existence, de la condition humaine.
