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musique jazz

kami octet

Spring party


ven. 01 mars
2019
La Garance

Pour ses dix ans d’existence, Kami Quintet s’est transformé en un grand ensemble de huit musiciens. Nous y retrouvons l’empreinte qui a fait l’identité du groupe au cours de ses premières années — avec un travail sur le rythme et la transe — mais aujourd’hui de nouveaux espaces sonores sont déployés avec un changement d’orchestration faisant basculer le son électrique vers l’acoustique, utilisant les timbres naturels des instruments comme autant de matières sonores faisant référence à des matières organiques venant de la terre. Une écriture dense au service d’un propos narratif, jalonnée d’espaces très ouverts où la liberté propre au jazz et aux musiques improvisées prend toute sa place.

Pèlerinage, voyage initiatique, la musique de l’album Spring Party nous emmène dans l’univers intime d’un personnage traversant des paysages imaginaires. Alliant écriture et improvisation, le répertoire de Kami Octet transporte vers les profondeurs de climats intimistes où les voix se mêlent pour mélanger leurs timbres, puis, surgissent, portées par l’énergie élémentaire d’une rythmique terrienne. Des moments de puissance orchestrale, des fragments de poésie déclamée sur une musique de chambre tendue comme un fil suspendu d’où émergent des improvisations de haut vol. La musique de Kami Octet s’inscrit dans la grande tradition des orchestres de jazz et de free music.


01.

Distribution

Guitare Pascal Charrier
Saxophone alto Julien Soro
Trombone Léo Pellet
Clarinette Yann Lecollaire
Voix Emilie Lesbros
Piano Paul Wacrenier
Contrebasse Leïla Soldevila
Batterie Nicolas Pointard

Le premier album de Kami Octet Spring Party est sorti en décembre 2017.
Création en décembre 2016 au Triton, Les Lilas

Mentions

Production Naï No.
Label Neuklang.
Distribution Pias – Harmonia Mundi.
Soutiens Direction Régionale des Affaires Culturelles PACA, la Région PACA, le Département du Vaucluse et la ville d’Apt. Naï Nô Production
est régulièrement aidée par la SPEDIDAM, l’ADAMI, le FCM.
Photo – Naï No Production